top of page
Screen Shot 2016-11-05 at 4.21.43 PM.png

Search Results

22 results found with an empty search

  • How Post-Secondary Students Can Tackle the Hidden Struggles of Mental Health and Physical Wellbeing

    1. Why Mental Health Should Be a Priority for Students As a post-secondary student, it is imperative that students prioritize mental health because it directly impacts both academic success and overall well-being. Within college or university of life there are many things that some might not consider at first, things such as stress, deadlines, and high expectations. Then adding additional factors of mental health struggles like anxiety or depression arises, it can affect your ability to focus, stay motivated, and perform at your best. By making mental health a priority, you can manage stress more effectively, prevent burnout, and improve productivity.  For example, personally I find that creating a schedule and trying to stick to it, allocating time for studying, determining how much time I may need, and planning breaks are useful. These breaks aren't just from studying, but also from social media. It is important to make time for exploring different interests, volunteering, writing journals or self-reflection, practicing gratitude (positivity), physical activity, and reading. Even a quick 2-minute break away from electronic devices can be incredibly refreshing. Previously, I never thought to prioritize my mental health, but I have come to realize how crucial it is for maintaining a healthy social life, building relationships, achieving success, and overall well-being. Taking care of your mental health also boosts your overall well-being, helping you stay balanced and emotionally healthy throughout your college experience. It is important to seek support when needed, as mental health struggles are common during these years. The sooner you reach out, the better you will feel in the long run. Beyond academics, learning to manage mental health in many cases prepares you for future leadership roles. Employers today value emotional intelligence and the ability to create supportive work environments. By focusing on your well-being now, you are setting yourself up for success, both in school and in your career. Taking care of your mental health is not just about surviving post-secondary; it is about thriving and becoming the leader you want to be. 2. How Physical Health Affects Mental Wellbeing Physical health has a powerful impact on mental well-being, especially for college or university students juggling multiple stressors. Regular exercise may increase mood, reduce stress, and sharpen focus, helping students manage academic pressures. Sleep plays a critical role too, without enough rest, students can feel drained, stressed, and less able to cope with daily challenges, which can negatively affect both their mental health and productivity. Nutrition is equally important; while poor eating habits may lead to feelings of guilt or low energy, eating well supports cognitive function, emotional stability, and overall resilience. So, taking care of your body through exercise, sleep, and a balanced diet does not just keep you physically fit, it’s essential for staying mentally strong during the ups and downs of student life. 3. The Top 3 Struggles Students Face As a student, it is not unusual that stress, anxiety, and burnout are real challenges many face. The pressure to balance academics, part-time jobs, and social life can feel overwhelming, especially when expectations are high. Whether it is the constant worrying about grades, sleepless nights cramming for exams, or the relentless pursuit of a perfect lifestyle, these pressures often take a toll on mental health. And with limited access to mental health resources or financial constraints, seeking help can sometimes feel like another hurdle to jump over. Also, I would like to add the challenges international students often face such as cultural adjustment, language barriers, and social isolation, which can negatively impact their mental health and well-being. It is clear that students today are navigating a tougher mental health landscape, but the good news is that there are resources and support out there if you know where to look! 4. Simple Tips for Better Mental and Physical Health Even something as simple as a 10-minute walk can lift your mood and boost energy. Try to fit in small bursts of exercise throughout your day. Plenty of water and focus on balanced meals throughout your day. Fueling your body helps maintain both energy and focus. It is recommended to aim for a regular sleep schedule and limit screen time before bed to improve your sleep quality. Take a moment each day to reflect on what you're grateful for, it can help shift your mindset and improve your well-being. Participate in social connections. Comment les étudiants postsecondaires peuvent surmonter les obstacles liés à la santé mentale et le bien-être physique 1. Pourquoi la santé mentale devrait être une priorité pour les étudiants En tant qu'étudiant postsecondaire, il est essentiel de prioriser la santé mentale, parce qu’elle influence directement la réussite académique et le bien-être général. La vie universitaire comporte de nombreux défis auxquels on ne pense pas toujours au départ: stress, échéances, attentes élevées. Lorsqu’on y ajoute des difficultés comme l’anxiété ou la dépression, cela peut nuire à la concentration, à la motivation et aux performances académiques. Prioriser la santé mentale permet de mieux gérer le stress, de prévenir l’épuisement et d’améliorer la productivité. Par exemple, j’ai personnellement trouvé que le fait d’établir un emploi du temps m’aide beaucoup. Je planifie mes sessions d’étude, j’évalue le temps dont j’ai besoin et j’intègre des pauses. Ces pauses ne concernent pas seulement les études, mais aussi l’utilisation des réseaux sociaux. Il est important de consacrer du temps à explorer différents centres d’intérêt, à faire du bénévolat, à écrire dans un journal pour réfléchir sur soi-même, à pratiquer la gratitude (positivité), à faire de l’exercice et à lire. Même une pause de deux minutes sans écran peut être extrêmement bénéfique. Auparavant, je ne considérais pas la santé mentale comme une priorité, mais je me suis rendu compte à quel point elle est essentielle pour maintenir une vie sociale épanouie et afin de se sentir bien au quotidien. Prendre soin de sa santé mentale contribue à un bien-être global, permettant de rester équilibré et émotionnellement stable tout au long du parcours universitaire. Il est aussi important de demander de l’aide si nécessaire, car les problèmes de santé mentale sont fréquents durant ces années. Plus on cherche du soutien tôt, mieux on se sentira à long terme. Au-delà des études, apprendre à gérer sa santé mentale prépare souvent aux futurs rôles de leadership. Aujourd’hui, les employeurs accordent une grande importance à l’intelligence émotionnelle et à la capacité de créer un environnement de travail bienveillant. En prenant soin de votre bien-être dès maintenant, vous vous donnez les moyens de réussir, tant dans votre parcours académique que dans votre future carrière. Prendre soin de sa santé mentale, ce n’est pas seulement survivre à l’université, c’est s’épanouir et devenir le leader que vous souhaitez être. 2. L'impact de la santé physique sur le bien-être mental La santé physique a une influence considérable sur le bien-être mental, surtout pour les étudiants universitaires qui jonglent avec de multiples sources de stress. L'exercice régulier peut améliorer l’humeur, réduire le stress et renforcer la concentration, aidant ainsi à mieux gérer la pression académique. Le sommeil joue également un rôle crucial : sans suffisamment de repos, on peut se sentir épuisé, stressé et moins apte à gérer les défis quotidiens, ce qui affecte négativement la santé mentale et la productivité. L’alimentation est tout aussi importante : de mauvaises habitudes alimentaires peuvent entraîner de la fatigue et une baisse de moral, tandis qu’une alimentation équilibrée favorise la fonction cognitive, la stabilité émotionnelle et la résilience. Ainsi, prendre soin de son corps par l’exercice, le sommeil et une alimentation équilibrée ne se limite pas à rester en bonne santé physique ; c’est aussi un élément clé pour préserver sa force mentale et faire face aux hauts et aux bas de la vie étudiante. 3. Les trois principales difficultés auxquelles les étudiants font face Il n’est pas rare que les étudiants souffrent de stress, d’anxiété et d’épuisement. La pression d’équilibrer les études, un emploi à temps partiel et une vie sociale peut devenir accablante, surtout lorsque les attentes sont élevées. L’inquiétude constante au sujet des notes, les nuits blanches à réviser pour des examens et la recherche incessante d’une vie parfaite pèsent souvent sur la santé mentale. De plus, l’accès limité aux ressources en santé mentale ou des contraintes financières peuvent rendre la recherche d’aide encore plus difficile. Il est aussi important de souligner les défis spécifiques auxquels sont confrontés les étudiants internationaux, notamment l’adaptation culturelle, les barrières linguistiques et l’isolement social, qui peuvent avoir un impact négatif sur leur bien-être mental. Il est évident que les étudiants d’aujourd’hui doivent composer avec des défis de plus en plus complexes en matière de santé mentale. Cependant, la bonne nouvelle est qu’il existe des ressources et du soutien – il suffit de savoir où chercher ! 4. Conseils simples pour améliorer sa santé mentale et physique Même une simple marche de 10 minutes peut améliorer l’humeur et donner un regain d’énergie. Essayez d’intégrer de courtes séances d’exercice dans votre journée. Buvez beaucoup d’eau et privilégiez une alimentation équilibrée pour maintenir votre énergie et votre concentration. Il est également recommandé d’avoir un horaire de sommeil régulier et de limiter le temps d’écran avant de se coucher pour améliorer la qualité du sommeil. Prenez un moment chaque jour pour réfléchir aux choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant : cela peut vous aider à adopter un état d’esprit plus positif et à renforcer votre bien-être. Enfin, ne sous-estimez pas l’importance des interactions sociales – entretenir des relations avec les autres contribue à une meilleure santé mentale. Works Cited || Ouvrage cité Caring for your mental health . (n.d.). National Institute of Mental Health. https://www.nimh.nih.gov/health/topics/caring-for-your-mental-health Oftedal, S., Fenton, S., Hansen, V., Whatnall, M. C., Ashton, L. M., Haslam, R. L., Hutchesson, M. J., & Duncan, M. J. (2024). Changes in physical activity, diet, sleep, and mental well- being when starting university: A qualitative exploration of Australian student experiences. Journal of American College Health , 72 (9), 3715–3724. https://doi.org/10.1080/07448481.2023.2194426 Porter, J., & Grogan, C. (2024, May 30). Making mental health a campus-wide priority: Strategies to support faculty, staff, and students . Harvard Business School. https://hbsp.harvard.edu/inspiring-minds/making-mental-health-a-campus-wide- priority Wand, E. (2023, October 31). Post-secondary students’ continued struggle with mental health: Are universities doing enough to help students who are struggling?  The Link Newspaper. https://thelinknewspaper.ca/article/post-secondary-students-continued- struggle-with-mental-health Image Credit: Cleveland Clinic By Aaron Hagos Translation: Pareesa Lashani

  • Nothing Changes if Nothing Changes

    https://rxlockscreens.tumblr.com/post/182866431351/random-blue-lockscreens “There is no such thing as a good influence. All influence is immoral — immoral from the scientific point of view.” “Why?” “Because to influence a person is to give him one’s own soul. He does not think his natural thoughts, or burn with his natural passions. His virtues are not real to him. His sins, if there are such things as sins, are borrowed. He becomes an echo of some one else’s music, an actor of a part that has not been written for him. The aim of life is self-development. To realize one’s nature perfectly—that is what each of us is here for. People are afraid of themselves, nowadays. They have forgotten the highest of all duties, the duty that one owes to one’s self.” Picture of Dorian Gray, Oscar Wilde, p. 19 I always felt like I wanted to get away. Leave my room at midnight, catch a random bus to an unknown destination and listen to music until we arrive at the last stop. A part of this nomadic want terrifies me since I was raised by traditional Asian parents who would question me every hour if I was not at home with them. Now that I am a university student, I certainly have more autonomy, yet I voluntarily impose those restrictions onto my lifestyle even to this day. “Let’s get home as soon as possible,” I tell myself as I catch the 8:23 PM bus that stops a few steps from my apartment complex. Usually, I am too tired to go anywhere else since I most likely have finished an evening shift at work and taken a few lectures earlier in the day. And although these wants and safety concerns stem from survival instincts of safety and consideration, the concept of liberty seems like a paradox. You can only exercise your autonomy and agency up to a certain extent. But then again, perhaps because of the boundaries I grew up in, an insatiable restlessness remained within me. Spending time alone has always brought me great clarity and retrospection, which I would not have acquainted myself with had I not reflected on my solitude. The problem arises if I spend all my time in isolation, which is unhealthy for everyone. This blog article does not aim to offer a step-by-step guide on wanderlust or wanting to travel, but rather an authentic experience that may parallel someone else’s. At some point, all of us have felt a little lost or unsure of the trajectory of our futures. Koyaanisqatsi, a 1982 film, mentions a Hopi Indian word, "Life out of balance.” Perhaps only when life is out of order can you fix it into one. Maybe only in solitude do you realize your desire to live with compassion. And perhaps only when you’re lost can you find yourself. Rien ne change si rien ne change J'ai toujours eu envie de m'évader. Quitter ma chambre à minuit, prendre un bus vers une destination inconnue et écouter de la musique jusqu'à ce que j’arrive au dernier arrêt. Une partie de cette envie nomade me terrifie parce que j’étais élevé par des parents strictes asiatiques traditionnels qui me questionnaient toutes les heures si je n'étais pas à la maison avec eux. Maintenant que je suis étudiante à l'université, j'ai certainement plus d'autonomie, mais j'impose volontairement ces restrictions à mon mode de vie jusqu'à ce jour. « Rentrons le plus vite possible », me dis-je en prenant le bus de 20h23 qui s'arrête à quelques pas de mon complexe d'appartements. Habituellement, je suis trop fatigué pour aller ailleurs car j'ai probablement terminé un quart de travail du soir et pris quelques cours plus tôt dans la journée. Et bien que ces désirs et ces préoccupations de sécurité découlent d'instincts de survie, de sécurité et de considération, le concept de liberté semble être un paradoxe. Vous ne pouvez exercer votre autonomie et votre libre arbitre que dans une certaine mesure. Mais encore une fois, peut-être à cause des limites dans lesquelles j'ai grandi, une agitation insatiable est restée en moi. Passer du temps seul m'a toujours apporté une grande clarté et une grande rétrospection, que je n'aurais pas connues si je n'avais pas réfléchi à ma solitude. Le problème se pose si je passe tout mon temps en isolement, ce qui est malsain pour tout le monde. Cet article de blog ne vise pas à offrir un guide étape par étape sur l'envie de voyager ou de voyager, mais plutôt une expérience authentique qui peut être parallèle à celle de quelqu'un d'autre. À un moment donné, nous nous sommes tous sentis un peu perdus ou incertains de la trajectoire de notre avenir. Koyaanisqatsi, un film de 1982, mentionne un mot indien Hopi, "La vie en déséquilibre". Peut-être que ce n'est que lorsque la vie est en désordre que vous pouvez la réparer, peut-être que ce n'est que dans la solitude que vous réalisez votre désir de vivre avec compassion et peut-être que c'est seulement lorsque vous êtes perdu que vous pouvez vous retrouver. Traduction : Pareesa Lashani

  • Things I Wish I Knew Before Moving Out

    Moving away from home can be an exciting yet daunting transition for many students. It is a process that we need to be explicitly taught how to navigate by teachers and parents, yet we are also expected to be able to seamlessly handle the change when we leave home for the first time. The transition is tough with the multitude of new responsibilities we must take on when living independently, such as managing our courses and finances, maintaining a social life, and setting time aside for our mental health. In this post, I’ll share a few things I wish I had known before living away from home for the first time. Find a schedule that works for you. The freedom that comes with living away from home can easily be abused if you do not schedule your time correctly. As someone who loves socializing, I would find it hard to say no to friends’ offers to hang out, even on days when I urgently needed to finish an assignment. To make things easier, I started setting aside a specific amount of time each day dedicated to studying, and if I could fulfil that obligation, I could spend the rest of my free time with friends. This prevented me from overestimating the amount of time I was spending on schoolwork. A schedule can also help improve your sleep quality (let’s be honest, as students, none of us get nearly enough rest), as we tend to wake up at a set time when our bodies are accustomed to a specific routine. Avoid skipping class This is the most obvious statement ever, but I cannot stress enough the benefits of regularly attending class. Even if you aren’t following everything your professor says, attending lectures gives you a designated time to get work done for a particular class, helping you keep up with your workload. While most courses do not have mandatory attendance, skipping class to complete the lecture later is a way to avoid getting it done. As more and more missing courses pile up, it’s easy to fall further and further behind, which can be overwhelming when exam season starts. Make use of the resources on campus. During my second year living in a student house, I rented a room on the main floor next to the living room. Studying in my room was distracting, as I could constantly hear my roommates socializing. I was always so tempted to join them! Learning in my room made me feel very isolated, as I could listen to my friends chatting while I was working alone. When I started making trips to the library more frequently, I felt a sense of togetherness studying quietly amongst the other students; the silence made it easy to get work done, while the people looking around me provided a sense of community. Additionally, studying on campus allowed me to separate my school life from my social life. My room was no longer a place of stress where I would find myself frantically rushing to finish an assignment, but rather a sanctuary to spend time with friends and relax. Remember, adjusting to living away from home will take time, and what works for one person might not work for someone else. Try different strategies and see what works for you! Good luck! Ce que j’aurais aimé savoir avant de déménager S'éloigner de la maison peut être une transition excitante mais en même temps intimidante pour de nombreux étudiants. Les enseignants et les parents devraient nous aider à naviguer ce changement. La transition est difficile avec la multitude de nouvelles responsabilités que nous devons assumer lorsque nous vivons de manière autonome, telles que gérer nos cours et nos finances, maintenir une vie sociale et réserver du temps à notre santé mentale. Dans cet article, je vais partager ce que j'aurais aimé savoir avant de vivre loin de chez moi pour la première fois. Trouvez un horaire qui vous convient. La liberté qui accompagne le fait de vivre loin de chez soi peut facilement être abusée si vous ne planifiez pas votre temps correctement. En tant que personne qui aime socialiser, j'aurais du mal à dire non aux offres d'amis pour sortir, même les jours où j'avais un besoin urgent de terminer un devoir. Pour faciliter les choses, j'ai commencé à consacrer chaque jour un temps spécifique à l'étude, et si je pouvais remplir cette obligation, je pourrais passer le reste de mon temps libre avec des amis. Cela m'a empêché de surestimer le temps que je consacrais à mes devoirs. Un horaire peut également aider à améliorer la qualité de votre sommeil (soyons honnêtes, en tant qu'étudiants, aucun d'entre nous ne se repose suffisamment), car nous avons tendance à nous réveiller à une heure fixe lorsque notre corps est habitué à une routine spécifique Évitez de sécher des cours. C'est la déclaration la plus évidente de tous les temps, mais je ne saurais trop insister sur les avantages d'assister régulièrement aux cours. Même si vous ne suivez pas tout ce que dit votre professeur, assister à des conférences vous donne un temps désigné pour faire le travail d'un cours particulier, ce qui vous aide à suivre votre charge de travail. Bien que la plupart des cours ne soient pas obligatoires, sauter un cours pour terminer le cours plus tard est un moyen d'éviter de le faire. Alors que de plus en plus de cours manquants s'accumulent, il est facile de prendre de plus en plus de retard, ce qui peut être accablant lorsque la saison des examens commence. Utilisez les ressources du campus Au cours de ma deuxième année dans une résidence étudiante, j'ai loué une chambre au rez-de-chaussée à côté du salon. Étudier dans ma chambre était distrayant, car je pouvais constamment entendre mes colocataires socialiser. J'étais toujours tellement tentée de les rejoindre ! Apprendre dans ma chambre m'a fait me sentir très isolé, car je pouvais écouter mes amis discuter pendant que je travaillais seul. Quand j'ai commencé à faire des voyages à la bibliothèque plus fréquemment, j'ai ressenti un sentiment d'unité en étudiant tranquillement parmi les autres étudiants ; le silence facilitait le travail, tandis que les gens qui regardaient autour de moi donnaient un sentiment de communauté. De plus, étudier sur le campus m'a permis de séparer ma vie scolaire de ma vie sociale. Ma chambre n'était plus un lieu de stress où j’étais stressée pour terminer un devoir, mais plutôt un sanctuaire pour passer du temps avec des amis et se détendre. N'oubliez pas que l'adaptation à la vie loin de chez vous prendra du temps et que ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas fonctionner pour quelqu'un d'autre. Essayez différentes stratégies et voyez ce qui fonctionne pour vous! Bonne chance! Traduction : Pareesa Lashani

  • My Journey with ADHD

    Growing up, I always knew something was different about me: how I perceived the world, relationships, time, school, etc. However, I could never put my finger on precisely what it was. Mind you, I was undoubtedly somewhat depressed and anxious and was also aware of the harmful coping mechanisms and habits I acquired. Still, I never knew exactly why I had those difficulties, and deep down, I strongly felt there was an underlying reason. It wasn’t until my third year of university that I saw a psychiatrist who assessed me at the school. I have always asked for the notes of my psychiatrists after appointments since I have every right to, and this time was no exception. I was surprised that he believed all my issues seemingly pointed to undiagnosed ADHD. I put my analytical skills to the test and researched it; let’s just say I had never felt so understood when I finally read countless blogs and peer-reviewed articles on the topic. It was evident after the many labels and diagnoses assigned to me that this one fit the shoe. This realization came with many feelings: confusion for being misled about the idea of ADHD; a sense of despondence and grief for my unaware past self; anger at the health and school system or even my parents for never seeing it; but mostly, I felt relieved. Relief because I finally felt understood. Before that, I had grown increasingly frustrated and ashamed of myself over the past several years. Despite achieving what many could only wish to achieve, in my mind, I was not heading in the right direction (aka my potential), and I didn’t quite know how to pump the brakes no matter how hard I tried. At first, I was scared that the answer to my issues would simply be a “change in attitude” or receiving a diagnosis that warranted heavy medications. Yet, I decided to move forward by putting my well-being first for once and communicated to my family doctor that I needed a referral to an ADHD specialist to get tested. Despite my certainty, some things didn’t apply, and I also am not a doctor, so I knew I needed to get a proper assessment and opinion before jumping to conclusions. Sure enough, one year later, I found out I, in fact, had a chronic condition – it was ADHD, and it was severely unmanaged. The countless hours spent on schoolwork, only to find I missed vital details. All the “not reaching her potential” comments on my report cards. The struggle to keep up with school, work, interests, relationships, pop culture, my own emotions, brain, or memory. The bullying and common shameful remarks on my behaviour from myself and authorities (lazy, forgetful, space cadet, intense, childlike, etc.). The list can go on and on, but the bottom line is that it became clear why I was drowning in a societal system that somehow always felt rigged against me. Institutions, mainly schools, but even society at large, adheres to the success of the neurotypical brain, not the neurodivergent brain (brains tend to fall under either or, and ADHD is not typical). Most doctors – yes, psychiatrists, too – are not fully educated on ADHD. Many are unaware of the impact ADHD has on those diagnosed and undiagnosed or how it looks different for men versus women or adults versus children. It looks different for people who don’t have concurrent mental illnesses versus those that do or those that have experienced trauma. Many people, especially women, live more complex, either undiagnosed or misdiagnosed, and I am writing this to say that doesn’t have to be the case. My diagnosis did not automatically eliminate the 20+ years of internal shame, guilt, and perfectionism I attained, nor did it rid me of the depressive symptoms, anxiety, and poor coping mechanisms that came with not understanding my brain. It’s been four years, and I am still working on rewiring my mindset and managing my ADHD. As a result, it’s been four years of learning more about outside of ADHD. Mostly, it’s been four years of doing more for me, not more stuff everyone else inadvertently assigned me. Four years of more compassion for myself, understanding more about myself and getting to more places I wanted to go with a little bit more ease (sometimes). ADHD is complex and burdensome, but receiving that diagnosis was the first moment in my life that I felt I had always been reaching my potential (given what I knew) and that many were not my own moral shortcomings. In the face of sadness and fear when hearing the diagnosis, I also felt more hope for myself and my future. The system is brutal to navigate. At times it’s seemingly impossible. It is exhausting and time-consuming to consistently advocate for your mental wellness. Though, I challenge you to ask yourself if you’re willing to go through life, never knowing your potential and trying to reach it. When asking yourself this, remember that nobody gets their potential in all areas of their life without outside help (be it through spirituality, loved ones, strangers, books, people in power, etc.). Seeking help, wanting more, and holding on to the little trust I had in what I felt about myself all along led me to unravel a me that I never knew existed yet made perfect sense. I may diverge from typical brains in the neurological sense, but finally, I didn’t feel so different from the world. I didn’t feel helpless. It may not be the same with everyone or every diagnosis, but my ADHD diagnosis made my mind and soul a little bit more at peace. Mon parcours avec le TDAH En grandissant, j'ai toujours su que quelque chose était différent chez moi : ma façon de percevoir le monde, les relations, le temps, l'école, etc. Cependant, je n'ai jamais pu mettre le doigt sur ce que c'était exactement. J'étais surtout déprimé et anxieux et j'étais également conscient des mécanismes d'adaptation et des habitudes néfastes que j'avais acquis. Pourtant, je n'ai jamais su exactement pourquoi j'avais ces difficultés, et au fond de moi, je sentais fortement qu'il y avait une raison sous-jacente. Ce n'est qu'en troisième année d'université que j'ai vu un psychiatre qui m'a évalué à l'école. J'ai toujours demandé les notes de mes psychiatres après les rendez-vous puisque j'en ai parfaitement le droit, et cette fois n'a pas fait exception. J'ai été surpris qu'il pense que tous mes problèmes semblaient indiquer un TDAH non diagnostiqué. Ainsi, j'ai fait des recherches; disons simplement que je ne m'étais jamais senti aussi compris quand j'ai finalement lu d'innombrables blogs et articles sur le sujet. Il était évident après les nombreuses étiquettes et diagnostics qui m'ont été attribués que celui-ci correspondait le mieux. Cette prise de conscience s'est accompagnée de nombreux sentiments : confusion d'avoir été induit en erreur sur l'idée du TDAH ; un sentiment de découragement ; la colère contre le système de santé et scolaire ou même contre mes parents pour ne jamais l'avoir vu ; mais surtout, je me suis senti soulagé. Soulagé car je me suis enfin senti compris. Avant cela, j'étais devenu de plus en plus frustré et honteux de moi-même au cours des dernières années. Malgré la réalisation de ce que beaucoup ne pouvaient que souhaiter réaliser, dans mon esprit, je n'allais pas dans la bonne direction (c'est-à-dire mon potentiel), et je ne savais pas trop comment pomper les freins, peu importe à quel point j'essayais. Au début, j'avais peur que la réponse à mes problèmes soit simplement un « changement d'attitude » ou de recevoir un diagnostic qui justifiait des médicaments lourds. Pourtant, j'ai décidé d'aller de l'avant en mettant mon bien-être au premier plan pour une fois et j'ai communiqué à mon médecin de famille que j'avais besoin d'être référé à un spécialiste du TDAH pour me faire tester. Malgré ma certitude, certaines choses ne s'appliquaient pas, et je ne suis pas non plus médecin, donc je savais que je devais obtenir une évaluation et une opinion appropriées avant de sauter aux conclusions. Effectivement, un an plus tard, j'ai découvert que j'avais en fait une maladie chronique - c'était le TDAH. Les innombrables heures passées sur le travail scolaire, seulement pour découvrir que j'ai raté des détails vitaux. Tous les commentaires "ne pas atteindre son potentiel" sur mes bulletins. La lutte pour suivre l'école, le travail, les intérêts, les relations, la culture pop, mes propres émotions, mon cerveau ou ma mémoire. L'intimidation et les remarques honteuses courantes sur mon comportement de la part de moi-même et des autorités (paresseux, oublieux, cadet de l'espace, intense, enfantin, etc.). La liste peut s'allonger encore et encore, mais l'essentiel est qu'il est devenu clair pourquoi je me noyais dans un système sociétal qui, d'une manière ou d'une autre, s'est toujours senti contre moi. Les institutions, principalement les écoles, mais même la société dans son ensemble, adhèrent au succès du cerveau neurotypique, pas du cerveau neurodivergent (les cerveaux ont tendance à tomber sous l'un ou l'autre, et le TDAH n'est pas typique). La plupart des médecins – oui, les psychiatres aussi – ne sont pas entièrement formés sur le TDAH. Beaucoup ne sont pas conscients de l'impact du TDAH sur les personnes diagnostiquées et non diagnostiquées ou sur la différence entre les hommes et les femmes ou les adultes par rapport aux enfants. Cela semble différent pour les personnes qui n'ont pas de maladies mentales concomitantes par rapport à celles qui en ont ou à celles qui ont subi un traumatisme. De nombreuses personnes, en particulier les femmes, vivent de manière plus complexe, non diagnostiquées ou mal diagnostiquées, et j'écris ceci pour dire que cela ne doit pas nécessairement être le cas. Mon diagnostic n'a pas automatiquement éliminé les plus de 20 ans de honte interne, de culpabilité et de perfectionnisme que j'ai atteints, ni les symptômes dépressifs, l'anxiété et les mauvais mécanismes d'adaptation qui accompagnent la non-compréhension de mon cerveau. Cela fait quatre ans, et je travaille toujours à changer mon état d'esprit et à gérer mon TDAH. En conséquence, cela fait quatre ans que j'en apprends davantage sur l'extérieur du TDAH. Surtout, cela fait quatre ans que je fais plus pour moi, pas plus de choses que tout le monde m'a assignées par inadvertance. Quatre ans de plus de compassion pour moi-même, de compréhension de moi-même et d'accès à plus d'endroits où je voulais aller avec un peu plus de facilité (parfois). Le TDAH est très complexe, mais recevoir ce diagnostic a été le premier moment de ma vie où j'ai senti que j'avais toujours atteint mon potentiel (compte tenu de ce que je savais) et que beaucoup n'étaient pas mes propres lacunes morales. Face à la tristesse et à la peur en apprenant le diagnostic, j'ai aussi ressenti plus d'espoir pour moi et mon avenir. Le système est brutal à naviguer. Parfois, c'est impossible. Il est épuisant de défendre constamment votre bien-être mental. Cependant, je vous mets au défi de vous demander si vous êtes prêt à traverser la vie, sans jamais connaître votre potentiel et en essayant de l'atteindre. Lorsque vous vous posez cette question, rappelez-vous que personne ne réalise son potentiel dans tous les domaines de sa vie sans aide extérieure (que ce soit par la spiritualité, les êtres chers, les étrangers, les livres, les personnes au pouvoir, etc.). Chercher de l'aide, en vouloir plus et m'accrocher au peu de confiance que j'avais dans ce que je ressentais pour moi-même m'a conduit à démêler un moi dont je ne savais pas qu'il existait mais qui avait tout son sens. Je peux diverger des cerveaux typiques au sens neurologique, mais finalement, je ne me sentais pas si différent du monde. Je ne me suis pas senti impuissant. Ce n'est peut-être pas la même chose pour tout le monde ou pour chaque diagnostic, mais mon diagnostic de TDAH a mis mon esprit et mon âme un peu plus en paix. Traduction : Pareesa Lashani

  • What Does Growing Up Mean?

    Nothing is more weak and soft than water, yet nothing surpasses it in conquering the hard and strong — there is nothing that can compare. All know that the weak conquers the strong and the soft conquers the hard. Straight words seem to reverse themselves. - Lao Tzu-Daoism (Chapter 78) Everyone knows University students are all at an age where we’re no longer considered teenagers, but we’re also not precisely full-functioning adults — at least, I don’t feel like it. But we’re not minors, either. We have some autonomy, and it seems to grow yearly, which can be pretty intriguing but alienating. Whenever people talk about “growing up,” they fail to acknowledge that life isn’t strictly composed of TV-like “high” moments where you’re constantly experiencing either a life-changing event or making life-long friends and going to a one-of-a-lifetime kind of party. Instead, it’s composed of mundane moments where you’re unsure which direction to take your life. Moments where you’re struggling to understand yourself and others. Maybe even confused over something as mundane as choosing between bubble tea or coffee to drink before class — both of which you enjoyed at some point, but now these choices seem stale. And to be honest, all these changes can seem quite alarming — provoking sentiments of, “I don’t know who I am anymore.” To be honest, we’ve all grown up socialized to act and behave a certain way. We’ve all played a role in our lives, whether subconsciously or not. I’m not going to give you that positivist line of: “University is all about finding yourself!” — because, yes, it is, but at the same time, it’s also about recovering parts of yourself that you lost through other people’s judgments, misconceptions, and misunderstandings. Step outside of that role you adamantly boxed yourself in. Who were you before the world decided to put its hands on you? There’s no linear definition fencing the dimensions of “growing up.” It’s an abstract concept with a subjective undertone to a universal understanding. We can all understand what the other is going through, but under a different color, a different perception, and a different mindset. The only collectivistic and unifying feature is the idea that we all must go through it someday. So, what is growing up? How would you define it? Don’t worry if you can’t right now; neither can I. It’s too subjective and personal to be able to frame it in simple congruent words. It requires estrangement, tenderness, and patience. Remember that despite all these trying times, allow yourself to let it be. Let October be October, and November is just November. You don’t need to know everything to continue with life. Taking things one step at a time is okay too. Qu’est-ce que grandir signifie? Tout le monde sait que les étudiants universitaires sont tous à un âge où nous ne sommes plus considérés comme des adolescents, mais nous ne sommes pas encore tout à fait des adultes – du moins, je n’ai pas l’impression d’en être. Mais nous ne sommes pas non plus des mineurs. Nous avons une certaine autonomie, et elle semble croître chaque année, ce qui peut être assez excitant, mais aussi inquiétant. Lorsque les gens parlent de «grandir», ils ne mentionnent que les moments excitants qu’on voit souvent à la télé tels que faire la fête ou passer des moments incroyables avec vos amis pour la vie. Toutefois, être un jeune adulte n’est pas ça du tout, c’est une période de vie stressante, composée des hauts, mais plutôt des bas. Vous allez souvent être confus, peut-être même avec des décisions aussi minimes que choisir entre des boissons. La vie universitaire ne sera pas le moment le plus simple de votre vie. Vous allez devoir décider qui vous voulez être, sans craindre ce que les gens autour de vous pensent. Il ne faut pas laisser les jugements et opinions des autres vous guider, c’est à vous de décider ce que vous voulez faire de votre vie. Il n'y a pas d’équation linéaire quant aux expériences et obstacles qui viennent avec grandir. C'est un concept abstrait et subjectif qui est unique à chacun. Ne vous inquiétez pas si vous ne pouvez pas définir le terme “grandir”. Ce dernier veut dire quelque chose de différent pour tout le monde. Il faut laisser tomber tous les malaises qui sont associés à grandir, et se concentrer sur la découverte de soi. Il faut prendre les choses une étape à la fois, et rappelez vous que c’est normal de faire des erreurs, l’important c’est qu’on apprend. Traduction : Pareesa Lashani

  • You Are Not Alone - The Struggle of Anxiety

    The pandemic was the last thing anyone expected 2020 to bring us. The past two and a half years have been filled with hardship, adjustments, and struggles worldwide due to Covid-19. It’s no secret this type of destabilization has manifested its effects on people’s mental health. The pandemic has triggered a 25% increase in anxiety and depression worldwide, which is incredibly large given that approximately 200 million people struggled with it pre-Covid (1). This fall has been yet another massive adjustment for many students: return to in-person classes. Many students, myself included, have felt a wave of relief because online courses were miserable and robbed us of our university experience. Behind this relief, however, was a wave of stress and anxiety. Many students have never taken an exam or even a class in university in person. As I said, a never-ending list of adjustments. Some people react well when faced with change, but this can be a source of anxiety for many people, especially students whose future depends on their years in university. Anxiety is only sometimes obvious to identify. Many known signs of stress manifest psychologically, but they can also manifest physically. Some of these signs include but are not limited to: It is important to note that although these symptoms are related to anxiety, they can be linked to numerous scenarios: excessive exercise, other mental health disorders, temporary sources of stress, etc. A more extensive assessment must be done to know if you are struggling with anxiety, but this is a crucial step to consider. Identifying this in yourself or your loved ones might lead someone to receive the needed help. Not everyone has the means to receive help or guidance for their anxiety, so it is crucial to offer tips and tools anyone can incorporate into their daily lives to manage stress. Nutrition and exercise are two fundamental aspects that can severely change how anxiety is manifested in your body. Nutrition: A lack of iron in your diet can worsen your anxiety symptoms. Try incorporating more spinach, legumes, quinoa, fish, nuts, broccoli, and oats into your diet. Another deficiency that can contribute to your anxiety is vitamin D deficiency. Foods high in vitamin D are fatty fish, seafood, dairy, eggs, goat or almond milk, and mushrooms. Dietary supplements that have helped reduce anxiety symptoms are vitamin B, magnesium, GABA, and bach flower remedy. Not only can you take supplements, but you can also reduce the consumption of coffee, sugars, alcohol, and processed foods to help. (2) Exercise: Incorporating exercise into your lifestyle has a physiological effect that naturally reduces anxiety. Exercising increases anti-anxiety neurochemicals, including serotonin, GABA, and endocannabinoids (3). All these chemicals have a positive impact on the pathophysiological process of anxiety. Resources around the university offer support and open conversations surrounding anxiety. One of these resources is Cam's Kids Foundation. Cam’s kids are committed to offering support for young people struggling with anxiety. They spread awareness regarding pressure, helping break down stereotypes and empowering young people to manage and overcome anxiety. They offer students with resources, hotlines, tips, tricks, and a judgment-free community of peer-to-peer support. You can text “CAM” to 686868 for free, confidential help. References Abraham, M. (2020, October 10). Here's how to manage anxiety. Calm Clinic - Information about Anxiety, Stress, and Panic. Retrieved September 25, 2022, from https://www.calmclinic.com/anxiety/management (Image) Brunier, A., & Drysdale, C. (2022, March). The covid-19 pandemic triggers a 25% increase in the prevalence of anxiety and depression worldwide. World Health Organization. Retrieved September 25, 2022, from https://www.who.int/news/item/02-03-2022-covid-19-pandemic-triggers-25-increase-in-prevalence-of-anxiety-and-depression-worldwide (1) Cam's Kids. (2020, April 13). Cam's Kids Foundation - About Us. Cams Kids. Retrieved September 25, 2022, from https://www.camskids.com/about.htm (2) Hull, M. (2022, May 26). Facts and statistics on Anxiety Disorders: Prevalence, impact, & treatment. The Recovery Village Drug and Alcohol Rehab. Retrieved September 25, 2022, from https://www.therecoveryvillage.com/mental-health/anxiety/anxiety-disorder-statistics/#:~:text=Worldwide%20Impact%20of%20Anxiety%20Disorders&text=According%20to%20the%20World%20Health,worldwide%20%E2%80%94%20have%20an%20anxiety%20disorder. (1) John J. Ratey, M. D. (2019, October 24). Can exercise help treat anxiety? Harvard Health. Retrieved September 25, 2022, from https://www.health.harvard.edu/blog/can-exercise-help-treat-anxiety-2019102418096 (3) Vous n'êtes pas seule - La lutte contre l'anxiété La pandémie était la dernière chose que l'on attendait de 2020. Les deux dernières années et demie ont été remplies de difficultés, d'ajustements et de luttes dans le monde entier en raison de Covid-19. Ce n'est un secret pour personne que cette dernière a eu un gros impact sur la santé mentale de la population. La pandémie a entraîné une augmentation par 25 % de l’anxiété et de la dépression dans le monde. Ceci est significatif étant donné qu'environ 200 millions de personnes luttaient contre ces dernières même avant la pandémie (1). Cet automne a été un ajustement significatif pour de nombreux étudiants : le retour aux cours en personne. De nombreux étudiants, moi y compris, ont été soulagés parce que les cours en ligne n’étaient pas idéales et nous enlevaient notre expérience universitaire. Derrière ce soulagement, cependant, se cachait un peu de stress et d'anxiété. De nombreux étudiants n'ont jamais passé d'examen ni de cours universitaire en personne. Comme mentionné précédemment, cette année est constituée avec d’énormes ajustements. Certaines personnes réagissent bien face au changement, mais cela peut être une source d'anxiété pour plusieurs d’autres, notamment les étudiants dont l'avenir dépend de leurs années à l'université. L'anxiété n'est pas toujours facile à identifier. Les symptômes de stress peuvent se manifester autant psychologiquement que physiquement. Certains de ces signes incluent, mais ne sont pas limités à : Il est important de noter que ces symptômes ne sont pas uniquement liés à l’anxiété, ils peuvent être le résultat de l’exercice excessif, autres troubles de santé mentale, sources de stress temporaires, etc. Une évaluation plus approfondie doit être faite afin de confirmer que les symptômes sont vraiment le résultat de l’anxiété. Identifier l’anxiété est important afin que les individus puissent recevoir l’aide dont ils ont besoin. Tout le monde n'a pas les ressources nécessaires pour se procurer de l'aide ou des conseils pour son anxiété, il est donc pertinent d'offrir des conseils et des outils que chacun peut intégrer dans sa vie quotidienne afin de gérer son stress. La nutrition et l'exercice sont deux aspects fondamentaux du quotidien qui peuvent modifier de manière importante la façon dont l'anxiété se manifeste dans votre corps. Nutrition : Un manque de fer dans votre alimentation peut aggraver vos symptômes d'anxiété. Essayez d'incorporer plus d'épinards, de légumes, de quinoa, de poisson, de noix, de brocoli et d'avoine dans votre alimentation. Une autre carence qui peut contribuer à votre anxiété est la carence en vitamine D. Les aliments riches en vitamine D sont les poissons gras, les fruits de mer, les produits laitiers, les œufs, le lait de chèvre ou d'amande et les champignons. Les compléments alimentaires qui ont aidé à réduire les symptômes d'anxiété sont la vitamine B, le magnésium, le GABA et la fleur de bach. Non seulement vous pouvez prendre des suppléments, mais vous pouvez également réduire la consommation de café, de sucres, d'alcool et d'aliments transformés pour vous aider. (2) Exercice : Intégrer l'exercice à votre quotidien aura un effet physiologique en réduisant naturellement l'anxiété. L'exercice physique augmente les substances neurochimiques anti-anxiété, y compris la sérotonine, le GABA et les endocannabinoïdes (3). Tous ces produits chimiques ont un impact positif sur le processus physiopathologique de l'anxiété. Les ressources de l'université offrent un soutien et des conversations ouvertes sur l'anxiété. L'une de ces ressources est la Cam's Kids Foundation. Les enfants de Cam s'engagent à offrir un soutien aux jeunes aux prises avec l'anxiété. Ils sensibilisent et aident à briser les stéréotypes ainsi que fournit les outils nécessaires aux jeunes afin qu’ils puissent gérer et surmonter l'anxiété. Ils offrent aux étudiants des ressources, des lignes directes, des conseils, des astuces et une communauté de soutien entre pairs sans jugement. Vous pouvez envoyer « CAM » par SMS au 686868 pour une aide gratuite et confidentielle. Traduction: Pareesa Lashani Références Abraham, M. (2020, October 10). Here's how to manage anxiety. Calm Clinic - Information about Anxiety, Stress, and Panic. Retrieved September 25, 2022, from https://www.calmclinic.com/anxiety/management (Image) Brunier, A., & Drysdale, C. (2022, March). The covid-19 pandemic triggers a 25% increase in the prevalence of anxiety and depression worldwide. World Health Organization. Retrieved September 25, 2022, from https://www.who.int/news/item/02-03-2022-covid-19-pandemic-triggers-25-increase-in-prevalence-of-anxiety-and-depression-worldwide (1) Cam's Kids. (2020, April 13). Cam's Kids Foundation - About Us. Cams Kids. Retrieved September 25, 2022, from https://www.camskids.com/about.htm (2) Hull, M. (2022, May 26). Facts and statistics on Anxiety Disorders: Prevalence, impact, & treatment. The Recovery Village Drug and Alcohol Rehab. Retrieved September 25, 2022, from https://www.therecoveryvillage.com/mental-health/anxiety/anxiety-disorder-statistics/#:~:text=Worldwide%20Impact%20of%20Anxiety%20Disorders&text=According%20to%20the%20World%20Health,worldwide%20%E2%80%94%20have%20an%20anxiety%20disorder. (1) John J. Ratey, M. D. (2019, October 24). Can exercise help treat anxiety? Harvard Health. Retrieved September 25, 2022, from https://www.health.harvard.edu/blog/can-exercise-help-treat-anxiety-2019102418096 (3)

  • Self-Esteem

    Low self-esteem increases risk of social anxiety disorder. Different individuals have negative self-images about themselves. It can be difficult the longer it takes. as it may develop into depression, substance abuse, or suicidal thoughts. Avoiding self-criticism, learning how to handle negative criticism, and interacting with friends can aid in having stronger self-esteem. Self-criticism prevents you from living life happily. We are no longer interested in discovering new opportunities that may allow us to attain a different perspective on life. Studies show that throughout adulthood, individuals exhibit increased low self-esteem. In this social media era, there is an increased risk for depression and self-comparison and users are challenged to reject negative feelings from leading to extreme self-hatred. A study done by Ozimek and Bierhoff (2019) shows that the association between social media and anxiety is driven by the exposure to fears of embarrassment in social activities, jealousy, or mental disturbance. Individuals’ characteristics determine their ability to handle the sense of guilt or hopelessness. Developing self-harming behaviours can cause inability to utilize one’s positive attributes. Victims who find themselves trapped in situations in their lives may exhibit signs of depression and feeling of social withdrawal, which can lead to excessive alcohol consumption, smoking, and use of other drugs. Unlike children who grow up respected and increase their tolerance to improving in life, those who never experienced positivity growing up seem to experience and suffer from negative criticism frequently in their lives. Usually, low self-esteem includes sleep and appetite disorders, accompanied by declining and toxic relationships. To improve self-esteem, maintaining a physically active life is crucial; physical fitness generates positive health outcomes and reduces anxiety. It is important to recognize what interests you to ease your anxiety. You must accept who you are and learn how to control condemnation in your life and disregard it. Everyone has unique skills. Utilize the things you do well and appreciate yourself without any comparisons to others. As human beings, we are not perfect. Acknowledge mistakes are a way for learning and growing not for self-bashing. Engage in your community and discuss any issues with the people you trust so that you do not find yourself emotionally drained. How wonderful would it be to live in a world where every person is respected and has a positive mindset about their abilities and weaknesses? You will observe changes in your life and eventually reach higher self-esteem from having a better perspective on any feedback or criticism, using it for self-growth, and surrounding yourself with confident and inspirational people. It may take a while to have this self-respect, but that is the secret. Patience is important to do anything. Admit your limits and challenge or do things with having sufficient knowledge to allow you recognize the positive asset you have in achieving your plan. Une faible estime de soi augmente le risque de trouble d'anxiété sociale. Différents individus ont une perception négative d'eux-mêmes. Cette dernière peut se transformer en dépression, en toxicomanie ou en pensées suicidaires. Éviter l'autocritique, apprendre à gérer les critiques négatives et interagir avec des amis ou des personnes, en général, peut aider à renforcer l'estime de soi. L'autocritique vous empêche d’être heureux. En effet, l’autocritique nous empêche d’avoir de nouvelles expériences qui pourront nous permettre d’obtenir une nouvelle perspective sur la vie. Des études montrent que tout au long de l'âge adulte, les individus présentent une faible estime de soi accrue. À l'ère des médias sociaux, il existe un risque accru de dépression et d'auto-comparaison. Une étude réalisée par Ozimek et Bierhoff montre que l'association des médias sociaux avec l'anxiété est alimentée par la jalousie ou les troubles mentaux. Les caractéristiques des individus déterminent leur capacité à gérer le sentiment de culpabilité ou de désespoir. Développer des comportements d'automutilation peut entraîner une incapacité à utiliser ses attributs positifs personnels. Les victimes qui ne sont pas contentes avec leurs vies peuvent faire face à la dépression, ceci est généralement plus fréquent chez les filles que chez les garçons. Ainsi, un sentiment de retrait social peut conduire à la consommation excessive d'alcool, tabagisme et consommation d'autres drogues. Selon l'OMS, la dépression est classée parmi les principales maladies. Les enfants qui n’ont pas grandi dans un milieu positif semblent souffrir fréquemment de critiques négatives dans leur vie. En effet, une faible estime de soi comprend des troubles du sommeil et de l'appétit ainsi que des relations toxiques. Pour améliorer l'estime de soi, il est important d’incorporer l'activité physique à votre vie. La recherche indique que la forme physique génère des résultats positifs pour la santé et réduit l'anxiété. Déterminez ce qui vous intéresse pour soulager votre anxiété. Aussi, il est important d’accepter qui vous êtes afin d’apprendre à contrôler la condamnation dans votre vie. Chacun a des compétences uniques. Faisez les choses que vous faites bien et ne vous comparez pas avec les autres. En tant qu'êtres humains, nous ne sommes pas parfaits. Reconnaître que les erreurs sont un moyen d'apprendre et de grandir. Engagez-vous dans votre communauté et discutez de tout problème avec les personnes en qui vous avez confiance afin de ne pas vous retrouver émotionnellement épuisé. À quel point ce sera merveilleux de vivre dans un monde où chaque personne est respectée et a un état d'esprit positif quant à ses capacités et ses faiblesses ? Vous observerez des changements dans votre vie et finirez par atteindre une plus grande estime de soi en ayant une meilleure perspective sur tout commentaire ou critique, en l'utilisant pour votre croissance personnelle et en vous entourant de personnes confiantes et inspirantes. Cela peut prendre un certain temps pour avoir ce respect de soi, mais c'est le secret. La patience est importante pour tout faire. Admettez vos limites et défiez ou faites les choses en ayant suffisamment de connaissances pour vous permettre de reconnaître l'atout positif que vous avez dans la réalisation de votre plan. References Adam. Deepen Self-Esteem. Sept 20, 2017. Four Rivers Behavioral Health, https://4rbhaddictiontreatment.org/deepen-self-esteem/. Accessed Feb 21, 2022. Ekeland, Eilin, et al. “Exercise to Improve Self-esteem in Children and Young People.” Cochrane Library, vol. 2009, no.1 John Wiley and Sons, Ltd, 2004, pp. CD003683- CD003683, doi.org/10.1002/14651858.CD003683.pub2. Hulme, Natalie, et al. “Images of the Self and Self-Esteem: Do Positive Self-Images Improve Self-Esteem in Social Anxiety?” Cognitive Behaviour Therapy, vol. 41, no. 2, Taylor & Francis Group, 2012, pp. 163-73, doi.org/10.1080/16506073.2012.664557. Isomaa, Rasmus, et al. “How Low Is Low? Low Self-Esteem as an indicator of Internalized Psychopathology in Adolescence.” Health Education & Behaviour, vol. 40, no. 4, SAGE Publications, 2013, pp. 392-99, doi.org/10.1177/1090198112445481. Ozimek, Phillip, and Hans-Werner Bierchoff. “All My Online-Friends Are Better Than Me – Three Studies About Ability-Based Comparative Social Media Use, Self-Esteem, and Depressive Tendencies.” Behaviour & Information Technology, vol. 39, no. 10, Taylor & Francis, 2020, pp. 1110-23, doi.org/10.1080/0144929X.2019.1642385. Thalin, Gabriella. Too few social media ‘likes’ can lead to increase in teen depression. November 15, 2020. Painted Brain, https://paintedbrain.org/mental-health/too-few social-media-likes-can-amp-up-teen-depression/. Accessed Feb 21, 2022. Tripković, Ingrid, et al. “Depression and Self-Esteem in Early Adolescence.” Central European Journal Public Health, vol. 23, no. 2, NATL INST PUBLIC HEALTH, 2015, pp.166-69, doi.org/10.21101/cejph.a4017.

  • Mental Health in Universities // La santé mentale à l’université

    Everyone experiences sadness or depression in life. People differ greatly in their ability to cope with negative experiences, which has a large role in determining whether they enjoy their lives. Among university students, academic workload and perceived stress are related, with students who spend a great deal of time in classes and working on assignments reporting high levels of stress. Some university students prioritize academic work over hobbies, interests, and personal relationships, resulting in poor balance in their personal lives. Students at universities are often cut off from social and cultural activities that are organized for undergraduates. It takes a village of people to nurture mental health Students, educators, and community members are all responsible for promoting positive mental health in schools. Students who are physically and emotionally healthy are more likely to succeed in school and in life. Through timely action, we can make a difference. Schools and communities can play an essential role in promoting mental health. Self-esteem, resilience, positive thinking, problem-solving skills, social skills, and feelings of mastery are protective factors. These will help balance negative factors that exist in students' lives. Activities students can engage in to improve mental health include: Setting time in their schedule to do things they enjoy Listening to music Meditation or yoga Spending quality time with family and friends Appreciating the small things in life Spending time outdoors or in nature Treating themselves to a delicious meal or buying an item they have been eyeing Society has a shared responsibility to understand and promote positive mental health in schools. Positive mental health can be promoted by increasing awareness and removing stigmas. There is clear evidence that mental health is critical to learning, as well as to the emotional and social development of students. Positive mental health allows students to learn more effectively, achieve more success, and develop healthier relationships. Take care of yourself too. Tout le monde éprouve de la tristesse ou de la dépression dans la vie. Les gens agissent de manière différente en faisant face aux expériences négatives, ceci joue un rôle important pour déterminer leur qualité de vie. Parmi les étudiants universitaires, la charge de travail scolaire et le stress sont liés, les étudiants qui passent beaucoup de temps en classe et à travailler sur des devoirs signalant des niveaux élevés de stress. Certains étudiants universitaires donnent la priorité au travail académique sur les passe-temps, les intérêts et les relations personnelles, ce qui entraîne un mauvais équilibre dans leur vie personnelle. Les étudiants des universités ne participent pas souvent aux activités sociales et culturelles organisées pour les étudiants de premier cycle Il faut un village de personnes pour entretenir la santé mentale Les élèves, les éducateurs et les membres de la communauté sont tous responsables de la promotion de la santé mentale positive dans les écoles. Les élèves qui sont en bonne santé physique et émotionnelle sont plus susceptibles de réussir à l'école et dans la vie. Avec le temps nous pouvons faire une différence. Les écoles et les communautés peuvent jouer un rôle essentiel dans la promotion de la santé mentale. L'estime de soi, la résilience, la pensée positive, les compétences en résolution de problèmes, les compétences sociales et le sentiment de maîtrise sont des facteurs de protection. Ceux-ci aideront à équilibrer les facteurs négatifs qui existent dans la vie des élèves Les activités auxquelles les étudiants peuvent participer pour améliorer leur santé mentale sont : Prendre le temps à faire qu’ils aiment Écouter la musique Méditation ou yoga Passer du temps en famille ou avec les amis Apprécier les petites choses dans la vie Passer du temps à l’extérieur ou dans la nature S’offrir un repas ou acheter un article qu’ils aiment La société a la responsabilité partagée de comprendre et de promouvoir la santé mentale positive dans les écoles. La santé mentale positive peut être promue en augmentant la sensibilisation et en éliminant les stigmates. Il est clair que la santé mentale est essentielle à l'apprentissage, ainsi qu'au développement émotionnel et social des élèves. La santé mentale positive permet aux élèves d'apprendre plus efficacement, d'avoir plus de succès et de développer des relations plus saines.

  • Things I Wish I Had Known Before Starting Therapy

    1. Do your research Take your time to look into what specializations each therapist offers (ex. depression, LGBTQA2+, divorce) Figure out what their fees are, whether your health insurance will cover you, and if they have a tiered system which may allow you to see a qualifying psychotherapist for a smaller fee Listen to your gut! Looking at their profile pictures, you can feel whom you might connect more to ALSO: take advantage of the free consultation session that most therapists offer! This will allow you to ask important questions, they can figure out whether they are suitable to help you, and you can see whether you think you’ll “click” with them 2. Be patient While it is such a huge step to want to seek external help, it may not work right away Try to release those high expectations you have for the first session Therapy is a marathon, not a sprint It might take time for you to be comfortable enough with your therapist to really get into the deep stuff - that’s okay! Applying what you learn in therapy, to your everyday life, will take time too! 3. You won’t have huge breakthroughs every time That doesn’t mean you are doing something wrong That doesn’t mean the therapy isn’t “working” That doesn’t mean your therapist is doing something wrong Some sessions might be earth-shattering, and others may feel like you’re not getting anywhere This is part of the process 4. It’s okay to see a new therapist Sometimes a therapist just isn’t the right fit for you… you don’t have to keep seeing them! They want you to heal, whether it’s with them or with another therapist It’s okay to switch to a new one 5. Some people will be weird about it Some people have stigmatizing beliefs about therapy that are misinformed It sucks when they project that onto you That doesn’t mean therapy is wrong! Sometimes a conversation about therapy will help them understand, other times it’s better to just set boundaries and keep doing what you feel is right for you! Remember; Therapy is a helping hand - you are the one that has to do the walking Take it seriously and show up for yourself and for your healing It won’t be easy but it will be worth it There is no timeline Needing to ask for help again, after you thought you had finished therapy, is okay too Therapy is not one-size-fits all It will get worse before it will get better <3 uncovering painful memories and truths will feel exhausting and hard It’s okay to take a break from therapy - you don’t have to spend every moment in your life “fixing yourself” It’s okay to want a therapist of a certain sexuality, race, gender, etc. It can be nice to have someone who relates to your specific experiences without you having to explain it Therapists don’t have the answers you are looking for, they help you to find your own answers Take care of yourself <3

  • Psychiatrist? Therapist? Psychologist? Who Should You See?

    There are many mental health professionals that can help navigate mental health struggles, from psychiatrists to psychologists to therapists, it can be easy to confuse the three and what they do. Psychiatrists are doctors who go through medical school to obtain an MD/DO/MBBS degree and specialize in psychiatry (Watson, 2019). They are able to diagnose mental illnesses, prescribe medications and may provide some counselling while primarily working in hospitals (Trillium Counselling, 2019). Next, psychologists are mental health professionals who obtain a PsyD which is a doctoral degree; they are able to diagnose and help treat mental disorders or behavioral problems through therapy (Mukherjee, 2019). Psychologists may also focus on research behind the disease processes. They may use psychotherapy to help navigate and treat patients (Mukherjee, 2019). Unlike psychiatrists, they are unable to prescribe medications. Lastly, therapists are professionals who use a variety of therapeutic approaches such as cognitive behavioral therapy to treat a diagnosis (Mukherjee, 2019). They usually obtain a Masters degree but they cannot make a diagnosis, unless under the supervision of a psychologist or psychiatrist. They also do not prescribe medications either (Trillium Counselling, 2019). Although all three have a lot of similarities, it is important to choose the right professional to address mental wellbeing. Therapists are typically professionals that are able to maintain a longer term relationship and they can help navigate issues like anxiety and depression. Therapists may also conduct group therapy and couples therapy (Watson, 2019). On the other hand, psychiatrists are professionals that usually require a referral from a family doctor. They mainly diagnose a mental illness or disorder and prescribe medications necessary. Unlike therapists, they typically have shorter sessions with their patients. Psychologists can help diagnose the disorder and then treat it through psychotherapy or other therapies aside from medications (Watson, 2019). Both psychologists and therapists can be accessed without a referral and are usually found in clinics. Mental wellbeing is an essential part of health and these professionals can help navigate mental health struggles. There is no one size fits all when it comes to mental health and it may take a few attempts to find the right professional for you but it is essential to not be discouraged by the process. References Mukherjee, C. (2019). Key differences between psychologists and therapists. TheMindFool - Perfect medium for self-development & mental health. Explorer of lifestyle choices & seeker of the spiritual journey. https://themindfool.com/psychologists-vs-therapists-the-key-differences/. Trillium Counselling. (2019). Psychotherapist and psychologist and psychiatrist oh my! - Trillium Counselling. Trillium Counselling. https://www.trilliumcounselling.ca/2019-11-10-psychotherapist-and-psychologist-and-psychiatrist-oh-my. Watson, S. (2019). Psychiatrist: What they are, vs. psychologist, and more. Healthline. https://www.healthline.com/health/mental-health/what-is-the-difference-between-a-psychologist-and-a-psychiatrist.

  • How to bring yourself out of a rut // Comment se sortir de l'ornière

    I recently had a friend reach out to me, telling me that they were in a bit of a mental rut. They wanted to know if I had any tips for how to get out of it, which got me thinking; what do I do to help myself bounce back from these weird periods in life? I began to brainstorm ideas and thought I could share them here in this blog with the hope that maybe a reader will find them helpful, or even just be inspired enough to attempt to leave the funk they’re in. So here we have 4 tips on how to get yourself out of a rut. Tip #1: Freshen up yourself and your space First of all, it can be good to do some freshening up, of both yourself and your space. Taking a rejuvenating bath or shower can be a good starting point, but also do a bit more to make yourself feel clean and fresh. This could be plucking your eyebrows or clipping your nails or doing a face mask, anything that makes you feel even slightly revived. In addition to this, give your space, whether this be your bedroom, bathroom, or whole apartment the same refresh that you gave yourself. Having a clean and tidy space may help your mind feel a bit tidier, but also making your space feel new can be exciting and energizing. This could mean rearranging the furniture, hanging up some new posters, or getting some cool lights to really reinvent the vibe in your environment, and hopefully transferring this vibe to yourself! Tip #2: Get moving in the fresh air I’m a firm believer of the positive impact that spending time outdoors can have on us humans, so I do think getting outside can be helpful for some people trying to find the motivation, productivity, and strength that they may have temporarily lost. I’m not saying you have to go out on a full hike, but even just a quick stroll around the neighbourhood can be beneficial. If you don’t feel going out is something you can do right now, no worries! Start by opening up some windows to get a breath of fresh air or step out onto your porch for just 30 seconds. Sometimes just a whiff of the outdoor air can be energizing. Tip #3: Get something done that has been on your to do list for a while Sometimes we can fall into ruts because we are overwhelmed, or not feeling confident in our abilities, so one way to tackle this is to complete something that you have been meaning to do for a while. This could help to kickstart your confidence, or take the pressure off the one thing that’s been lingering for ages. Maybe a lightbulb burnt out a while ago and you haven’t got around to changing it, or you’ve been meaning to buy some new bed sheets because yours are getting pretty old. Whatever task, big or small, that’s been in the back of your mind for a while, now is the time to do it. And even if it doesn’t help you feel much better, at least you got something done! Tip #4: Try something new My final tip for today is trying something new, and the reason for this is it could boost some inspiration or maybe help you form a routine. What if you end up loving that yoga class that you’ve been meaning to try, and now you have a reason to leave the house every Wednesday night? Learning a new skill or picking up a new hobby can give us purpose or routine, and can also stimulate our brains and bring us energy, so why not try it now when you need it most? Whether you end up trying one of these tips, some other tip you know, or don’t feel ready to try and conquer your rut yet, be kind to yourself! Ruts, slumps, funks, whatever you call them, are normal parts of life, and working through them can be a tough and lengthy process that everyone experiences differently. Remember - you can handle whatever comes your way, and this feeling is temporary. J'ai eu un ami qui m'a contacté récemment, en me disant qu'il était un peu dans une ornière mentale. Il voulait savoir si j'avais des astuces pour lui de s’en sortir, ce qui m'a fait réfléchir: que ferais-je pour me remettre de ces périodes étranges de la vie? J'ai commencé à chercher des idées et j’ai pensé que je pourrais les partager dans ce blog en espérant qu'un lecteur les trouverait utiles, ou que cela inspirait quelqu’un à essayer de quitter cet état de funk où il se trouve. Alors voici 4 conseils sur comment se sortir de l'ornière. Conseil n°1 : Rafraîchissez-vous et votre espace Tout d'abord, ce serait bien d’avoir un rafraîchissement, à la fois pour vous-même et pour votre espace. Prendre un bain ou une douche rajeunissante pourrait être un bon point de départ, mais faites aussi un peu plus pour vous sentir propre et frais. Que ce soit vous épiler les sourcils, vous couper les ongles ou vous faire un masque de visage, cela vous ferait sentir au moins légèrement revigoré. En plus, donnez votre espace, que ce soit pour votre chambre, votre salle de bain ou tout l'appartement, le même rafraîchissement que vous donnez à vous-même. Avoir un espace propre et rangé pourrait aider à vous sentir un peu plus organisé, cela est excitant et énergisant en soi également. Réorganisez les meubles, accrochez de nouvelles affiches ou achetez des lumières sympas pour créer de l'ambiance dans votre environnement, et espérez que cette énergie vous sera transmise! Conseil n°2 : Bougez en plein air Je crois fermement à l'impact positif du temps passé à l'extérieur sur nous, les humains. Donc je pense que sortir dehors pourrait être utile pour certaines personnes qui essaient de trouver la motivation, la productivité et la force qui sont peut-être temporairement perdues. Je ne dis pas que vous devez faire une randonnée complète, mais même une simple promenade rapide dans le quartier pourrait être bénéfique. Si vous ne pensez pas que sortir est quelque chose que vous pouvez faire maintenant, il n’y a pas de soucis! Commencez par ouvrir les fenêtres pour prendre une bouffée d'air frais ou sortez de votre maison pendant seulement 30 secondes. Parfois, une simple bouffée d'air extérieur pourrait être énergisante. Conseil n°3 : Faites quelque chose qui est sur votre liste depuis longtemps Parfois, nous pouvons tomber dans des ornières, car nous sommes dépassés ou nous ne nous sentons pas confiants dans nos capacités. Donc une façon de résoudre ce problème est de terminer quelque chose que vous avez l'intention de faire depuis longtemps. Cela pourrait vous aider à reprendre la confiance en vous ou à relâcher la pression que cette tâche pesait sur vous. Peut-être qu'une ampoule a brûlé il y a longtemps et que vous n'avez pas eu le temps de la changer, ou que vous vouliez acheter de nouveaux draps pour remplacer ce que vous avez présentement. Quelle que soit la tâche, grande ou petite, qui vous trotte dans la tête depuis un certain temps, il est maintenant temps de la faire. Et même si cela ne vous aide pas à vous sentir beaucoup mieux, au moins vous aurez fait quelque chose! Conseil n°4 : Essayez de nouvelles choses Mon dernier conseil pour aujourd'hui est d'essayer de nouvelles choses, et la raison est que cela pourrait stimuler l'inspiration ou vous aider à former une routine. Peut-être vous finirez par aimer un cours de yoga que vous voulez essayer depuis longtemps, vous aurez donc une raison pour quitter la maison tous les mercredi soirs! Apprendre une nouvelle chose ou découvrir un nouveau passe-temps pourrait nous donner un but ou une routine, et pourrait également stimuler notre cerveau et nous apporter de l'énergie, alors pourquoi ne pas l'essayer maintenant quand vous en avez le plus besoin? Que vous finissiez par essayer un de ces conseils, un autre conseil que vous connaissez, ou que vous ne vous sentez pas encore prêt à essayer de vaincre votre ornière, soyez gentil avec vous-même ! Les ornières, les effondrements, les funks, peu importe comment vous les appelez, sont des aspects normaux de la vie, et les surmonter peut être un processus long et difficile que tout le monde vit différemment. N'oubliez pas - que vous pouvez gérer tout ce qui vous arrive et que ce sentiment est temporaire.

  • Of Course, It Hurts

    English: Français:

  • Resource Hub

    Crisis lines Crisis lines are a great resource where you can get immediate counselling by connecting to a trained volunteer. They can assist you with anything you’re going through. If you’re experiencing a non-emergency crisis, you can check out the resources listed below. You can call, or text, free of charge – whichever works best for you. Someone is ALWAYS there to listen. Good2Talk Crisis Line Distress Centre of Ottawa and Region ConnexOntario Peer support at uOttawa If you’re looking to join a smaller community that will help you shoulder the challenges you are facing, the Wellness lounge on the University of Ottawa campus is a great place to go. It’s a judgement-free space that has both on- and off-campus resources for you to access. Support groups are a safe and confidential space to connect with other students. Not sure whether support groups are right for you? There’s no harm in trying one! Wellness lounge University of Ottawa Support group Self exercises Moodgym provides training in cognitive behaviour therapy (CBT) and consists of five interactive modules, which are to be completed in order. These include information, interactive exercises, workbooks to record thoughts, feelings and behaviours, and quizzes with personalised feedback. Moodgym Carrds These are collections of websites across various platforms, that are all directed at mental health resources. Click around! https://u-are-loved.carrd.co/ https://checkpoint.carrd.co/ https://appreciatingmylife.carrd.co/ Directory of resources This list consists of various resources! uOttawa Health and Wellness PDF of Resource Guide eMental Health.ca Mental health apps Ottawa Public Health Looking to get involved with mental health awareness within your community? If you’re interested in helping out with mental health awareness at uOttawa, take a look at becoming a general member. There are other ways to get involved within the community, too! uOttawa Mental Health Awareness Society Canadian Mental Health Association Remember, it’s okay not to be okay. uOttawa Mental Health Awareness Society Lignes de crise Les lignes de crises sont d’excellences ressources où vous avez accès au service de counselling immédiat en vous connectant à un bénévole formé. Ils peuvent vous aider avec tout ce que vous vivez en ce moment. Si vous souffrez d’une crise non urgente, vous pouvez jeter un coup d’œil sur les ressources ci-dessous. Vous pouvez appeler ou texter gratuitement, choisissez celui qui vous convient le plus. Quelqu’un est TOUJOURS là pour vous écouter, Allo J'écoute Ligne de crise Centre de détresse d’Ottawa et la région ConnexOntario Soutien des pairs à uOttawa Si vous recherchez à joindre une petite communauté qui vous aiderait à surmonter les défis auxquels vous êtes confrontés, le Salon du mieux-être au campus de l’Université d’Ottawa est un très bon endroit. C’est un espace sans jugement qui possède à la fois des ressources sur campus et hors campus. Les groupes de soutien sont un endroit sûr et confidentiel pour connecter avec d’autres étudiants. Vous n’êtes pas sûr si les groupes de soutien sont pour vous? Il n’y a rien de mal à essayer! Salon du mieux-être de l'Université d'Ottawa Groupes de soutien Exercices par vous-même Moodgym offre la formation en thérapie cognivo-comportementale (TCC) et est composé de cinq modules interactifs, qui sont à faire dans l’ordre. Ça inclut de l’information, des exercices interactifs, des cahiers pour noter des pensées, des sentiments et des comportements, ainsi que des quiz avec la rétroaction personnalisée. Moodgym Carrds Ce sont des collections de sites web sur de différentes plateformes, qui dirigent tous vers des ressources en santé mentale. Cliquez pour voir plus en détail! https://u-are-loved.carrd.co/ https://checkpoint.carrd.co/ https://appreciatingmylife.carrd.co/ Répertoire des ressources Cette liste comprend de nombreuses ressources! uOttawa Santé et mieux-être PDF de Guide de ressources eSantéMentale.ca Applications en santé mentale Santé publique Ottawa Vous désirez vous impliquer dans la sensibilisation à la santé mentale dans votre communauté? Si vous voulez aider avec la sensibilisation à la santé mentale à uOttawa, joignez-vous à nous en tant que membre général. Il y a également d’autres associations dans lesquelles vous pouvez vous engager! uOttawa Société de sensibilisation à la santé mentale Association canadienne de santé mentale Ça va aussi, si ça ne va pas, uOttawa Société de sensibilisation à la santé mentale

  • Self Care Tips for Managing Chronic Anxiety

    Anxiety can be a giant force that sometimes feels impossible manage. It can take over our days and leave us struggling to cope. Below are a few idea’s that can help before, during, or after an episode of anxiety. Remember, everyone has their own way to cope so take what works best for you! Photo by fotografierende on Unsplash Journal your thoughts away Writing out your thoughts can help get you outside your head. When our thoughts are swirling around uncontrollably, it can be helpful to look at them visually. There are countless journal prompts online if you’re not sure where to start or you can simply write “I am feeling” statements. The classic pen and journal will work wonders but sometimes writing isn’t for everyone. Maybe start a folder on your computer to vent your thoughts into if typing is more your jam or use the audio function on your phone and speak/cry/yell your emotions away (this can also be great for listening to it back to get an outside perspective of your thoughts and feelings). Photo by David Travis on Unsplash Make a fact sheet Have you ever had that experience, where you express your anxiety to another human and they’re just downright confused? So often our anxiety is not grounded in fact. In those moments, our brains aren’t looking for facts, it’s looking for anything that’s going to continue to fuel the anxiety and panic. It can help to look at the evidence. What is your mind telling you and what are the facts telling you? Anxious about an interaction you had? Ask yourself, did the other person say anything about it or is it just your mind telling you that there is an issue. Photo by ian dooley on Unsplash Channel that energy Anyone that experiences anxiety can tell you, anxious energy is a big energy. So why not channel that massive energy into something productive? Get creative! Try focusing that energy into a passion project, an art project, baking or cooking, anything to give your mind something new to focus on and your hands something to keep busy. Photo by Cameron Venti on Unsplash Get moving This can be unique to you! When I feel anxious, I always redo my room. The physical act of moving furniture, cleaning, organizing, helps me work up a sweat and stay present in the moment but this could look different for everyone. Maybe you want to go for a run or take a walk, maybe you want to stretch or dance, whatever it is, moving your body will help expel some of that anxious energy and release some much needed endorphins. Photo by fotografierende on Unsplash Give yourself comfort Do you have a favourite stuff animal? A tea that you absolutely love? An album that just makes your heart sing? Let yourself indulge! Fill your room with good scents, order your favourite food, whatever you need to give yourself comfort and love in the hardest moments. I find it helpful to make a box filled with my favourite things, that way when those anxious moments hit, I have it ready to go with all the comfort I could ask for. Photo by National Cancer Institute on Unsplash Find support Anxiety makes it’s incredibly challenging to break free from those cyclical thoughts. We can feel really trapped and alone and our perception of reality can become increasingly warped. Try reaching out to a friend. Sometimes just letting another human know, “I feel anxious” takes the power away from the anxiety. Find an online platform, follow positive mental health social media accounts, access therapy or support groups, or any way that works for you, connecting with others is a way to push back. Photo by Susan Yin on Unsplash Read up on it It can feel impossible to control what you don’t understand. Give yourself a crash course in anxiety. It can help in those moments to be like “I read this, I know what’s happening, and I’m going to do my best to cope and work through it”. There are endless books, blogs, and accounts dedicated to understanding anxiety. For those of us with an anxiety disorder, it isn’t going to go away anytime soon. Our best strategy to making it work despite our anxiety is to find coping mechanisms that help ease the emotions when they become overwhelming.

If you are in crisis or in an emergency, please call 911 or visit your local emergency department.

Si vous êtes en crise ou en situation d'urgence, veuillez appeler 911 ou visitez votre service d'urgence local.

  • Instagram
  • Facebook Social Icon
  • Twitter
  • LinkedIn

@2020 uOTTAWA MENTAL HEALTH AWARENESS SOCIETY / SOCIÉTÉ DE SENSIBILISATION À LA SANTÉ MENTALE DE L’UNIVERSITÉ D’OTTAWA

bottom of page